Science politique
Offre de formation en Science politique
Licence science politique
Formation certifiée ISO 9001 depuis 2016 (attestant ainsi la qualité pédagogique et administrative de la formation), la Licence mention Science politique propose un cursus spécifique en science politique de la L1 jusqu’à la L3.
Axée sur la compréhension du monde contemporain, elle propose d’acquérir :
- l’ensemble de connaissances nécessaires à l’analyse de la politique entendue au sens large de « gouvernement des sociétés » (enseignements généralistes en L1, consolidés en L2, spécialisés en L3) ;
- de se forger une solide culture générale ;
- de renforcer les compétences rédactionnelles et orales ;
- de se former à une large batterie d’outils méthodologiques mobilisables dans les différents secteurs professionnels auxquels cette formation permet d’accéder (rédaction de toute forme de document écrit, production de toute forme d’intervention orale, construction et réalisation d’enquêtes ou d’études qualitatives et quantitatives, recherches documentaires, maîtrise des techniques d’information et de communication…) ;
- de se préparer à la suite (poursuite d’étude ou insertion professionnelle) grâce à six modules d’accompagnement universitaire et professionnel de la L1 à la L3.
bi-Licence économie et science politique
Résolument pluridisciplinaire, la bi-licence « science éco – science po » se propose de répondre aux exigences des nouveaux métiers porteurs, notamment dans les domaines de l’environnement, de l’énergie, de l’aide à la décision, des projets de développement ou encore de la gouvernance transnationale et de la régulation des sociétés complexes. Il s’agira de former des cadres qui, disposant de compétences dans les domaines de l’économie, de la Science politique et plus généralement des sciences sociales et des institutions nationales et internationales, pourront occuper des postes avec des responsabilités dans le secteur public et privé, en France ou à l’international.
Au plan pratique, les étudiants suivent les enseignements fondamentaux des deux licences de science économique (site de Richter) et de Science politique (site de la Faculté de Droit et de Science politique), l’Université de Montpellier étant à ce jour la seule à proposer ce type de cursus. La validation de la formation suppose le passage d’un grand oral bi-disciplinaire attestant des apports des deux disciplines pour l’analyse de la situation du monde contemporain. La double compétence recherchée doit permettre à la suite d’investir les meilleurs diplômes de masters de chaque discipline, ou des masters pluridisciplinaires co-habilités en Science politique et en Science économique pour préparer les étudiants aux métiers d’avenir.
MASTERS
- MENTION POLITIQUES COMPARÉES
Master Politique et action publique comparées –Comparative Politics and Public Policy
Responsable pédagogique : Laura MICHEL
- MENTION POLITIQUES PUBLIQUES
Master Opérateur en coopération internationale et développement
Responsables pédagogiques : Marc SMYRL et Jean JOANA
- MENTION SCIENCE POLITIQUE
. Master Métiers des études et du conseil
Responsable pédagogique : Aurelia TROUPEL
. Master Economie – Science politique « Gouvernance des Sociétés et des Territoires en Transition »
Responsables : Mathias REYMOND et Julien AUDEMARD
diplôme d’établissement (du)
Communication and Fundraising Tools for International Solidarity Organizations
Responsable pédagogique : Marc SMYRL
Niveau d’entrée Bac+2 – Formation initiale et Formation continue
école doctorale
- Équipe de direction :
Directeur : Pr Jérôme Roux
Responsable du service : Sophie SEGUI
Secrétariat : Iwona BROUSSE
Tél. : 04 34 43 27 92
Accueil : 2ème étage du bâtiment 1 – Bureau 2.03
L’école doctorale Droit et Science politique (ED 461) de l’Université de Montpellier, accueille les doctorants juristes et politistes des 9 unités de recherche rassemblées en son sein.
Depuis juillet 2017, elle fait partie du Collège doctoral de l’Université de Montpellier auquel sont associés d’autres établissements (Montpellier Supagro, Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier, IMT Mines Alès, AgroParisTech). La valeur ajoutée du Collège doctoral est notamment appréciable dans tout ce qui concerne les relations doctorants/entreprise ainsi que dans le très large catalogue de formations proposées aux doctorants
L’ED 461 regroupe 155 enseignants-chercheurs dont 111 HDR (habilités à diriger les recherches) inscrits dans l’un ou l’autre des laboratoires qui y sont rattachés :
- Le Centre du droit de l’entreprise
- Le Centre de recherches et d’études administratives de Montpellier (CREAM)
- Le Centre d’études et de recherches comparatives constitutionnelles et politiques (CERCOP)
- L’École de droit social de Montpellier
- L’Institut de droit européen des droits de l’homme (IDEDH)
- L’Institut d’histoire du droit (IHD)
- Le Laboratoire de droit privé
- L’UMR 5112 Centre d’études politiques de l’Europe latine (CEPEL)
- L’UMR 5815 Dynamiques du droit
Les 300 doctorants inscrits au sein de l’ED 461 peuvent préparer 4 doctorats différents :
- Droit privé et sciences criminelles
- Droit public
- Histoire du droit et des institutions
- Science politique
Chaque année, une quarantaine de soutenances de thèses et 3 soutenances d’HDR sont en moyenne organisées.
Conformément aux articles 2 et 3 de l’arrêté du 25 mai 2016 fixant le cadre national de la formation et les modalités conduisant à la délivrance du diplôme national de doctorat, le rôle de l’École Doctorale consiste à organiser la formation des doctorants, à les préparer à leur activité professionnelle et à leur apporter une culture scientifique élargie.
A ces fins, l’École Doctorale procède à la sélection des candidats au doctorat sur la base de critères explicites et publics et organise l’attribution des financements qui lui sont dévolus, en particulier les contrats doctoraux. Avec le concours de chaque unité de recherche rattachée, elle veille à ce que les doctorants préparent et soutiennent leur thèse dans les meilleures conditions, notamment par l’organisation d’une formation doctorale complémentaire propre à favoriser leur insertion professionnelle post-doctorale, par la mise en œuvre de la charte des thèses et par la mise en place de comités de suivi de thèse.